La sortie, c'est par là ! Essai 250 Kawasaki Usine
Le cylindre vu du dessus et la culasse.
Le cylindre vu du dessus et la culasse ; les chambres de combustion sont tournées vers l'intérieur pour orienter l'explosion à l'opposé de l'échappement. Les joints toriques sont de minces fils de caoutchouc qui prennent place dans des gorges prévues dans la culasse.

Le bloc cylindres est dissymétrique ; les échappements sortent de chaque côté ; chaque cylindre possède trois transferts bien visibles.

Les deux disques rotatifs sur leur carter (ou couvercles): le petit F signifie « front » antérieur. Le disque est coupé pratiquement d'une moitié: il commande l'admission en ouvrant et fermant le passage des gaz à la forme particulière.

Le carter d'embrayage vu de l'intérieur avec le pignon d'entraînement et à gauche l'entraînement de la pompe à eau.

L'embrayage est le même que celui de la 750: de petit diamètre mais très efficace aux dires des pilotes.
Informations tirées de Moto Journal N° 347 du 19 janvier 1978.
Par Alain Chevallier.