La sortie, c'est par là ! Victory Memorial Museum
Rare photo d'une Gillet 750 cc avec side-car. L'une des richesses du Victory - et non des moindres - est sa collection de motos. Tous les modèles Américains, Allemands, la plupart des modèles Français et Britanniques y figurent. Mais c'est la Belgique qui remporte la palme. Dès le début, lors de l'établissement de la fameuse liste de véhicules à réunir pour la collection, j'avais réservé, sans me préoccuper de l'avis des spécialistes, une place d'honneur aux motos. Dans l'entre-deux-guerres, chaque pays développa le "cheval de fer" car tous le considéraient comme l'inévitable remplaçant du cheval. Ils s'étaient trompés et, au fil du déroulement de la 2ème Guerre mondiale, l'intérêt pour les motos décrut.

C'est probablement aussi l'une des raisons pour lesquelles, après la guerre, l'Europe vit diminuer - voire disparaître - ce moyen de transport qui fut remis à l'honneur dans les années 70 par... des marques Japonaises.Avant la guerre, c'est la Belgique qui produisit les meilleures motos militaires, immédiatement acquises par les autres pays pour les étudier et les copier. De nombreux articles de qualité ont été écrits sur les motos militaires Belges.

Séquence de halage par poulie de la roue du side d'une Saroléa 1000. Je me limiterai donc à l'essentiel et au récit de la recherche de ces engins rarissimes qui constituent l'orgueil du Victory. J'avais conservé en mémoire un article de magazine Français signé par celui qui est considéré comme le plus compétent de l'hexagone en la matière, article dans lequel il qualifiait la Saroléa 1000 de "rêve de la collection de moto"; la légende figurant sous la photo (la seule connue de l'auteur) disait ceci: 1940, Side militaire Saroléa 1000 cc flat-twin ; un modèle similaire existait chez FN ; elles sont plus rares que les BMW et Zundapp Russie (je me demande pourquoi on ajoute toujours "Russie" au nom de ces motos).

Ladite photo montrait la Saroléa 1000 exactement comme nous la présentons pour illustrer cet article avec comme seule différence que la nôtre est en couleur ! Un avantage que nous offrons pour la première fois au monde, pour la plupart des véhicules à l'exception de ceux qui sont déjà connus par les Clubs de collectionneurs de véhicules militaires. J'avais rapidement appris que la Saroléa 1000 était un vrai "rêve". Elle était tout simplement introuvable et personne n'en connaissait une qui soit complète.

Il existait bien des morceaux à gauche et à droite, jalousement gardés par leurs propriétaires qui espéraient en trouver d'autres. J'avais donc gommé de mon esprit ce modèle pour me concentrer sur les autres modèles Belges, à savoir la FN 1000 et la Gillet 750. Comme toujours, en cherchant la documentation et tout ce qui avait été publié sur ce sujet, les photos d'époque, etc., j'appris beaucoup de choses, en particulier que la Gillet 750 était encore plus rare que la Saroléa 1000.

Un side-car militaire identique était attelé à diverses motos Belges. Cela devenait tout simplement désespérant, d'autant plus que la FN 1000 que nous possédions avant de nous orienter vers la collection pour le Victory avait été volée au lendemain de l'achèvement de sa restauration, un soir de réveillon de Nouvel-An du début des années 70. Par la suite, nous en avons retrouvé la trace mais n'avons jamais pu la récupérer (* voir au plus bas de la page). Sans pouvoir en expliquer la raison, je ne voulais pas la remplacer et c'est donc vers le très rare Tricar de ce modèle FN 1000 que je me suis orienté.

Il a fallu des années pour trouver le châssis conforme (il y a eu une fabrication d'après-guerre), le moteur et tous les accessoires dont les tuyaux d'échappement laissent de mauvais souvenirs à ceux qui ont dû les restaurer et les placer. Le modèle que nous présentons possède la caisse arrière destinée au transport de munitions. Il a existé d'autres modèles dont un curieux véhicule de commandement avec quatre sièges derrière le pilote.

Nous avons évidemment trouvé des modèles militaires plus légers et de moindre intérêt mais le plus amusant est que la rarissime moto Gillet 750 (en réalité une 728 cc 2 temps), nous l'avions ! Elle se trouvait dans la collection de motos réunie au début des années 70, collection qui n'avait pas été axée spécifiquement sur le militaire. Il a donc "suffi" de trouver un châssis et un side-car pour la compléter car nous la possédions en version solo.

Comme sa roue arrière était équipée du dispositif de traction pour la roue du side, il eut été malheureux de la laisser en solo ; on peut d'ailleurs douter qu'elle ait été utilisée comme telle. Restait le "rêve": la Saroléa 1000 ! J'ai déjà parlé de la chance ; en voici un parfait exemple. Un jour, je reçus un coup de téléphone d'un Français qui me fournissait ces pièces très difficiles à trouver que sont les phares, les compteurs et autres accessoires des véhicules d'époque.

Un side-car militaire identique était attelé à diverses motos Belges. Il m'avait aussi fourni plusieurs exemplaires d'un type très rare de remorque qu'il prétendait être particulier au seul usage des parachutistes Allemands, ce qui était crédible car ces remorques étaient pliantes et les roues démontables en une seconde ; elles pouvaient être placées de telle façon que l'on obtenait un volume rectangulaire de la dimension du plateau de la remorque et de l'épaisseur des pneus. En fait, j'ai appris d'un visiteur du Victory - un médecin Autrichien qui collectionne les remorques (?) Allemandes - qu'il s'agit de Pionerhandfahren (Pf 22).

Le Victory en présente plusieurs avec différents types de roues, dont la très spéciale roue pour pneus type désert. Mais revenons à notre Français qui m'annonçait avoir trouvé une "grosse moto Belge dans une vieille ferme"; la moto était complète et "dans son jus" mais n'avait plus son réservoir ni la caisse du side ; j'en déduisis que le châssis du side, lui, était présent, chose inespérée.

Il était soi-disant impossible de prendre des photos faute de lumière et il était difficile de me donner l'adresse pour toutes sortes de raisons... dont nous pouvions imaginer la principale. Bref, nous étions dans l'impasse et je perdis la chose de vue jusqu'à ce qu'on m'avertisse un jour qu'un Français en voiture se trouvait à la grille de ma propriété et demandait à me voir. Un superbe coupé de marque Allemande s'arrêta devant moi, tirant une remorque qui jurait avec la splendeur de la voiture. Sur la remorque se trouvait - devinez quoi ! - "une grosse moto Belge dans son jus, sans son réservoir...".

Ce qui me frappa le plus était la couleur: je ne l'avais plus vue depuis 1939, lorsque les Chasseurs Ardennais passaient avec l'air important dans les rues de ma ville natale, perchés sur de petits véhicules à chenilles tirant un petit canon ; on appelait ces attelages des "quatre-sept". J'ai appris depuis qu'il s'agissait de tracteurs chenillés Vikers Armstrong " Utility " tirant des canons antichars de calibre 4,7 cm (d'où le surnom de l'attelage); ces Utility étaient construits sous licence en Belgique pour l'armée Belge. Fermons la parenthèse. La moto que me présentait le Français était donc Belge ; rien d'autre ne l'indiquait: il ne subsistait aucune plaque d'identification ni marquage militaire.

La FN 1000 avec side-car tracté rendra de trés grands services pendant la Campagne des 18 Jours contre l'envahisseur Allemand, notamment aux mains des Chasseurs Ardennais. Une moto sans réservoir n'a pas beaucoup d'allure mais l'ensemble était impressionnant par sa solidité et la beauté de sa mécanique.

Le Français m'affirma que le moteur était en état de marche bien qu'il ne l'ait pas lui-même fait tourner (c'est presque toujours le cas...) et me fit un baratin de marchand de tapis. Ce n'est pas cela qui me décida, pas plus que l'argumentation habituelle des droits de douane payés, du transport effectué, etc. Non, c'est tout simplement l'instinct et l'amour de la belle "chose".

J'effectuai ainsi ce qui resterait l'un des grands achats en faveur de la collection ! Car le vendeur n'avait pas tourné sa voiture que je fouillais déjà tous mes livres pour identifier la machine, en vain. Tout ce que je pouvais en dire était qu'elle ressemblait à la FN 1000 dont je possédais pas mal de photos. La nuit suivante, je me réveillai en sursaut: comment ne pas avoir pensé au "rêve" ?! Je me précipitai pour rechercher la revue dans laquelle j'avais lu l'article qui en parlait, article illustré par une photo ; après des recherches fébriles - donc peu efficaces - qui me virent feuilleter dix fois les mêmes magazines, je trouvai l'article que je voulais. C'était elle ! Je m'en rendis compte au premier coup d'oeil.

Exercice tous-terrains avec des motos side-cars. L'affût, à l'avant droit du side, ne supporte pas le fusil-mitrailleur FN prévu en dotation standard. J'avais, dans mon rêve, identifié le rêve... Les oiseaux ont dû être étonnés de me voir tourner autour de ce châssis dès les premières lueurs de l'aube pour m'assurer que c'était bien elle: la célèbre Saroléa 1000. Nous n'avons eu qu'à lui trouver un réservoir et placer une batterie pour démarrer et conduire cette merveille de mécanique en tout-terrain. Intacte, avec sa couleur d'origine, comment a-t-elle survécu durant plus de 40 ans au fond d'une grange Française ?

On peut imaginer un soldat Belge en évacuation avec sa machine, contraint de l'abandonner par manque d'essence et emportant son réservoir vide pour que l'on ne puisse la voler... Car il est certain qu'il devait être attaché à sa machine (comment en serait-il autrement d'un tel engin ?). Ensuite, cet homme est mort ou a été emporté par la tourmente de la guerre, ou bien n'a pas retrouvé l'endroit, a été fait prisonnier, a rejoint l'Angleterre via l'Espagne, comment savoir ? Grâce à lui et à un heureux concours de circonstance, une merveilleuse machine Belge, témoin d'une époque, expression de la haute technicité Belge, est définitivement préservée chez nous.

Saroléa 1000 en tous-terrains, aux mains de l'armée Belge. La restauration fut très aisée. Après avoir fait reproduire parfaitement la couleur d'origine, nous avons dû trouver une caisse de side-car militaire Belge (pas facile !), un phare et un réservoir.

Le reste était complet d'origine. Les pneus Englebert du type militaire tout-terrain étaient dans un remarquable état de conservation, probablement grâce à une atmosphère favorable dans le lieu de stockage. Ce qui posa davantage de problèmes fut la roue de rechange du side-car.

La différence entre les couleurs des véhicules Belges que nous possédons s'explique. La Saroléa a sa couleur d'origine. Pour la FN 1000 Tricar, nous avons adopté la même.

Par contre, la Gillet 750 a été peinte d'après la couleur des coffres de motos Belges qui étaient encore dans leur teinte d'origine et que nous avons reprise pour varier un peu ; cette dernière est brillante alors que celle de la Saroléa est plutôt satinée.

Mais l'une et l'autre sont sans aucun doute des couleurs d'origine. A noter au passage que les coffres de motos Belges sont en métal avec le couvercle en cuir.
Historique
Extrait du catalogue FN ; cette illustration laisse apparaître le châssis du Tricar FN. En 1936, lorsque la motorisation de l'armée Belge démarra, l'Etat passa commande aux trois grands constructeurs de Herstal: FN, Gillet et Saroléa. Dans un premier temps, la production des grosses motos avec side-car fut réservée à Gillet et FN tandis que Saroléa se spécialisait dans les motos solo pour estafettes. Les types retenus pour les trois marques étaient des 1000 cc pour FN, des 750 cc pour Gillet et des 600 cc pour Saroléa.

En 1938, Saroléa s'estima lésé car ses deux concurrents réalisaient de meilleurs chiffres d'affaires en fournitures militaires. Aussi, à l'instar de FN et Gillet, Saroléa mit en chantier une moto de grosse cylindrée avec side-car à roue tractée ; la Saroléa 1000 était née. Désignée "Type H", cette moto était équipée d'un moteur deux cylindres à plat (flat twin) à soupapes latérales, de 978 cc.

Le vilebrequin était monté sur roulements à aiguilles et le pilote disposait de deux fois trois vitesses avant et une marche arrière ; la transmission s'effectuait par cardan ; la roue du side pouvait être facilement embrayée grâce à un levier placé à la droite et en retrait du pilote. Les roues interchangeables étaient chaussées de pneus Englebert Tractor 12x45 à profil tout-terrain.

Essai resté sans suite de blindage d'une FN 1000. Une poulie fixée à la roue du side permettait à l'attelage, lorsqu'il était embourbé, de se tracter par l'intermédiaire d'une corde attachée à un point fixe et enroulée deux fois autour de la poulie ; la rotation de la roue enroulait la corde et halait l'attelage vers le point de fixation (avant ou arrière, selon le besoin). Le dessous de la moto - dont le carter - était protégé par une forte tôle. Très lourd, l'ensemble pouvait néanmoins se déplacer sur route à une vitesse de 80 km/h. Mais sa performance la plus intéressante résidait dans son aptitude au tout-terrain et au gravissement en charge de pentes de 60%.

Peu d'exemplaires (environ 300) furent livrés à l'armée avant l'invasion Allemande du 10 mai 1940 car le véhicule n'eut pas le temps d'être agréé ; seuls quelques exemplaires furent donnés par Saroléa aux fins d'essais. Ces véhicules participèrent avec succès à la Campagne des 18 Jours.

L'ordre de les détruire lors de la reddition fut très pénible à exécuter car leurs équipages y étaient très attachés en raison des grands services rendus par ces machines. Celles qui furent capturées par les Allemands - amateurs de belles mécaniques - servirent notamment sur le front de l'Est sous la désignation Schweres Kraftrad 1000 cc mit Seitenwagen (angetrieb.) Saroléa (b) Typ 1000 1939/1940.

Tout ceci explique l'extrême rareté de cet engin dont un nombre plus que restreint subsiste. En dehors de celle présentée au Victory, j'ai entendu dire qu'il y en aurait une autre en Belgique mais dépourvue du châssis et de la caisse de son side-car ; je connais par ailleurs un passionné de motos qui en possède deux incomplètes, en pièces détachées, et qui désespère de pouvoir en reconstruire une...

La FN 1000 est plus courante, même si elle reste une pièce convoitée par les collectionneurs. Quant à la Gillet 750, c'est également une pièce de grande rareté. Jusqu'à nouvel avis, on peut considérer que la Saroléa 1000 et la Gillet 750 présentées au Victory sont les uniques survivantes d'une production très réduite, surtout dans l'état où elles sont exposées (complètes avec side-car et en état de marche).
Quelques avis sur le Victory Memorial Museum
La restauration de notre Saroléa 1000 est achevée. Il manque encore la roue de secours. Ces appréciations ont été extraites du livre d'or ou transmises par lettres à Guy Franz Arend. Elle donnent une idée de l'impact produit par une visite de ce qui est pour toujours la plus riche collection privée de véhicules militaires dans le monde.

Vous avez ma totale admiration pour votre oeuvre, expression de votre passion et engagement absolu et réalisant ce musée de classe mondiale.
Général Colin L. Powell, US Army. Chef d'Etat-Major Interarmes.

J'ai été véritablement enthousiasmé par la richesse de votre collection et la façon intelligente et pédagogique de présenter les différentes pièces. De plus, vos dioramas "grandeur nature" donnent une dimension historique plus forte et nouvelle.
José Matheuson, Reims (France).

La restauration de notre Saroléa 1000 est achevée. Il manque encore la roue de secours. La visite de votre musée devint le sommet de ma visite en Europe. Je vous envoie mes félicitations les plus sincères, les plus chaleureuse et les plus cordiales pour une réalisation fabuleuse, sans précédent et qui coupe le souffle. C'est une des plus grandes réalisations d'un homme que j'ai pu voir.
Albin F. Irzyk, Brig.Gén. US Army. Vétéran de la 4è D.B. (2ème G.M.).

Je connaissais la compétence, les connaissances historiques et techniques de Guy Franz Arend ; je ne pensais pas qu'il était aussi animé d'une toute bretonne détermination pour réaliser ce que je considère comme unique au monde.
André Lecoq, Paris (France).

Quel merveilleux musée vous avez créé ! C'est magnifique. Un musée unique au monde et à jamais le meilleur sur la 2ème Guerre Mondiale. Cette réalisation vous place parmi les grands fondateurs de musée au monde.
Robert R. Ulin, US Army. Historien, Professeur à l'US Army War College.

Notre Tricar FN 1000, quasiment achevé. Il manque encore la roue de secours, à l'arrière de la caisse. J'ai bien entendu visité votre musée et suis enthousiasmé. Mes deux petits-fils ont ouvert des yeux grand, comme ça... et plus grands encore ! Vos superbes collections leur ont prouvé qu'on n'a pas attendu 1990 pour inventer le moteur à explosion. Continuez, doe maar voort, carry on, weiter machen !
Louis Freuville, Président. Front de l'Indépendance, Belgique.

Chaque détail dans la conception du musée est le fruit de longues recherches. Je ne peux exprimer combien parfaite, dans les moindres détails, est la restauration, l'exactitude dans la réalisation des reconstitutions, ni le soin avec lequel a été réalisé ce musée.
Robert W. Jenkins Jr., Richmond (USA). Vice-président du MVPA (collectionneurs US).

Difficile de croire en un travail d'une telle qualité. Somptueux !
Général John Galvin, US Army. Commandant des Forces Alliées en Europe (SHAPE).

Notre Tricar FN 1000, quasiment achevé. Il manque encore la roue de secours, à l'arrière de la caisse. Notre voyage vers le musée fut particulier et nous avons été dépassés par la richesse des collections. Tout cela est tellement bien présenté, le contenu si riche, la conception parfaite. Celui qui a eu la faculté intellectuelle de concevoir ce musée doit être un génie et c'est ce que nous pensons de vous. Je suis très heureux et fier d'avoir vu l'uniforme de notre régiment.
Gordon B. Taylor ; Canada. Vétéran de la 2ème Guerre Mondiale.

Ce musée est excellent, l'exposition superbe par sa richesse ; les unifonnes et les mannequins qui la complètent atteignent la perfection. Il y a assez de matériel pour couvrir trois musées ! Une visite ne sera jamais suffisante pour se pénétrer de l'atmosphère de votre remarquable réalisation.
Robert J. Fleming, Angleterre. A.F. Budge Military Collection.

J'ai eu l'occasion de visiter votre musée qui m'a très fortement impressionné par le nombre et la qualité des modèles présentés. Je croyais même certains d'entre eux aujourd'hui introuvables ; ils sont là. Il est facile, d'imaginer la peine et le travail qu'il a fallu dépenser pour leur restauration.
Dietbert Geiger, Ing. Grad., Allemagne.

Je me permets de vous écrire pour vous faire part de mon émerveillement et pour vous féliciter pour votre splendide collection. Passionné de véhicules militaires de la 2ème Guerre Mondiale, j'ai été très agréablement surpris de pouvoir contempler des véhicules assez mystérieux pour moi, n'en ayant jamais vu qu'une mauvaise photo.
M. Lempereur ; Vaux (Belgique). Une fabuleuse collection de véhicules de la 2ème Guerre Mondiale. Au-delà de toutes les descriptions, avec de nombreuses raretés. Raretés dans le sens que fort peu ont survécu ou que fort peu furent produits, voir, les deux ! C'est impossible à décrire: le mieux est que tous aillent le voir, au moins une fois. Je suis incapable, de traduire l'atmosphère et la qualité de cette réalisation.
Bart Vanderveen, Pays-Bas. Rédacteur en chef de Wheels & Tracks, Londres.

Un merveilleux musée, une vraiment grande collection sur la 2ème Guerre Mondiale, admirablement presentée. Mes sincères remerciements pour la création de ce superbe mémorial.
Professeur E. Ambrose, USA. Biographe officiel du Général Eisenhower.

En octobre, nous avons visité votre musée et nous vous écrivons pour vous féliciter d'avoir réuni une telle collection d'une telle qualité et aussi importante. Vous avez atteint un sommet ; nous n'avons rien de comparable aux Etats-Unis.
Hayes Otoupalik.

Dans votre collection, tous les records sont battus !
Paul Bouillé, France.

* Cette FN 1000 porte le n° de moteur 0004 et un autre n° d'identification: 17947. La trace de cette moto a été retrouvée en Hollande où elle a été vendue en pièces détachées à un Britannique pour 6500 florins, entre le 14 et le 21 juillet 1979. Ce Britannique ne serait jamais venu enlever les pièces qui ont à nouveau été vendues à un instituteur Italien pour 6000 florins. Le marchand Hollandais l'avait achetée en Belgique, non loin de Bruxelles, chez un spécialiste de ce genre de motos dûment identifié. (Extrait d'un procès verbal établi par la police communale de Deurne par J.E.F. Beckers le 1er mars 1980 sous le n° C2/425/80 ; procès verbal n° 195/80).
Informations tirées de VéMil N° 7 de mars 1991.
Propos recueillis par Alain Henry de Frahan.
Photos et archives du Victory Memorial Museum.
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